L’hypnose médicale, la sophrologie et l’EFT (emotional freedom techniques, techniques de libération émotionnelles) sont autant d’outils très complémentaires à la psychothérapie. Outils auxquels je me suis formée au fil de mes années de pratique observant l’importance du dialogue entre corps et psyché, ces approches psycho-corporelles apportent une réponse concrête à certains maux. Ils sont devenus peu à peu  indispensables tant le bien être qu’ils apportent est satisfaisant.

L’hypnose médicale L’hypnose médicale est une pratique qui utilise un état de conscience particulier, l’état hypnotique, dans un but thérapeutique.  Elle s’inspire des techniques de l’hypnose ericksonienne. La séance est non-directive et le psychothérapeute est là pour accompagner le patient dans sa démarche. Ce courant est à la base de l’approche psychothérapeutique. Elle est très souvent associée avec les thérapies brèves.

L’EFT (emotional freedom techniques, techniques de libération émotionnelles) L‘EFT est une technique qui utilise la stimulation de points d’acupuncture (par massage ou tapotements) pour libérer les émotions négatives.C’est une méthode simple et efficace que le patients peu rapidement s’approprier pour se libérer de la tristesse, peur, colère, honte, anxiété, culpabilité, etc…, elle est très utile en complément de la prise en charge des troubles anxieux, et tous les symptômes liés aux traumas (dépression, sentiment de panique, insomnies, …)

Ma pratique de ces outils
C’est en complément des méthodes de psychothérapie que j’utilise les techniques de l’hypnose, de la sophrologie et de l’EFT dans le cadre de mon exercice libéral.

Souvent pour calmer le « feu » des symptômes :

  • une anxiété massive
  • un stress chronique
  • une perte de confiance en soi
  • une perte de confiance dans la relation à son corps lié à un accident ou une pathologie (vertiges, acouphènes, cancer,  AVC, SEP, fibromyalgie, SLA,…)
  • une perte de confiance dans ses propres capacités à gérer ses émotions, ses humeurs –
  • Accompagnement au sevrage médicamenteux antidépresseur et/ou anxiolytique en fin de cure.
  • Attaques de panique
  • Crises de tétanie/ spasmophilie
  • Douleurs chroniques